22Oct

Le Maroc lance sa Marque Économique « Morocco NOW »

Le Maroc lance sa Marque Économique « Morocco NOW »

Le Royaume lance une marque d’investissement et d’exportation baptisée « Morocco NOW« . Utilisant des atouts pour développer sa compétitivité, notamment dans l’industrie automobile où l’objectif du Maroc est de devenir un leader mondial.

A Dubaï, le Maroc a lancé dimanche 10 octobre sa marque « Morocco NOW« , démontrant ses ambitions dans le domaine de l’investissement et de l’export.

L’annonce a eu lieu au Pavillon du Maroc à l’Expo 2020. Cet événement mondial a attiré plus de 200 participants (pays, organisations multilatérales, entreprises, etc.). Une Tribune globale pour le Royaume entend s’imposer comme « une plateforme industrielle et exportatrice de premier plan pour accélérer les investissements étrangers ».

Le but de « Morocco NOW » est de proposer aux investisseurs une nouvelle plateforme d’investissement « décarbonée et compétitive », affirme Youssef El Bari, Directeur général de l’Agence marocaine de développement des investissements et des exportations (AMDIE).

Ce n’est pas un label, c’est une identité qui indique la position du Maroc dans l’investissement et le Business en général », a ajouté l’intervenant. Une identité conçue pour être offensive et sans entrave. En attestent certains défis affichés : « Dans l’industrie automobile, nous espérons être les premiers en termes de compétitivité mondiale. On y travaille », a annoncé M. El Bari.

« C’est un secteur de plus en plus important et très fort au Maroc. Aujourd’hui, notre valeur d’exportation est d’environ 10 milliards de dollars américains et peut installer 500 000 voitures. Nous fabriquons des voitures électriques et thermiques avec un niveau d’intégration de 60%. »

Le Maroc espère améliorer la compétitivité de « l’énergie verte » grâce au surf et à d’autres moyens. Selon El Bari, l’objectif est de doubler les exportations 5 ans d’ici.

Le Maroc lance sa Marque Économique « Morocco NOW » qui met en avant 4 atouts: 
  • NOW durable: grâce à des investissements prospectifs, les énergies renouvelables représentent 37% de l’énergie total en 2020, avec un objectif de 52% à horizon 2030 et une capacité installée en 2021 sera 4GW
  • NOW compétitif, Bénéficiez du devis « meilleur coût » proposé à des coûts de production et d’exportation compétitifs, ainsi que du privilège de toucher plus d’1 milliard de consommateurs à travers 54 accords de libre-échange, et de constituer une passerelle directe pour intégrer le potentiel de croissance rapide de l’Afrique.
  • NOW gage de succès, se concentre sur l’amélioration des compétences des jeunes grâce à une expérience réussie dans la mise en œuvre d’investissements étrangers, des domaines stratégiques et technologiques de l’industrie mondiale et la réalisation de projets d’infrastructure à grande échelle.
  • NOW agile : possède une adaptabilité extraordinaire inscrite dans l’ADN marocain. Il gère la crise COVID en redistribuant rapidement les outils industriels, les équipements sanitaires et même le déploiement efficace des vaccinations, ouvrant ainsi la voie à une reprise rapide.

 

21Oct

Casablanca Finance City

Aujourd’hui Casablanca Finance City (CFC) se classe parmi les plus grands centres financiers internationaux, Une ambition qui a été portée par de nombreux accords, alliances et réformes, prouvant et qui a pu attirer pas moins de 200 entreprises ayant aujourd’hui le statut CFC. La Tour CFC peut accueillir 34 locataires et 800 salariés.

Tout cela a officiellement commencé en 2010, et la Directive Royale vise à positionner Casablanca comme une place financière régionale et internationale.

L’initiative a rapidement été soutenue par l’ensemble des acteurs financiers de la place (groupes bancaires, autorités financières…), constituant ainsi le premier tour de table de l’entité en charge du pilotage de Casablanca Finance City (CFC).

« L’idée d’une place financière régionale a émergé en 2004, quand les grands groupes bancaires marocains (BMCE, BCP et AWB) commençaient à s’installer en Afrique subsaharienne », précise Abdellatif Jouahri, wali de Bank Al Maghrib. Pour lui, les équipes de CFC dirigées par Saïd Ibrahimi semblent avoir brillamment relevé ce défi d’envergure. Il faut dire que CFC, fondée il y a dix ans, est devenue aujourd’hui la première communauté d’affaires à vocation africaine et une place financière reconnue dans le monde. 

Casablanca Finance City en chiffres :

Voici quelques chiffres et réalisations de la Place Financière (CFC) qui ont élevé le royaume au rang de véritable place économique et financière entre l’Afrique et le monde :

  • 1er Centre Financier en Afrique, selon le « Global Financial Centres Index » (GFCI) 2021 qui est l’indice des centres financiers mondiaux.
  • Plus de 200 entreprises membres et disposant du « statut CFC ». Cette communauté regroupe : 39% d’entreprises marocaines opérant à l’international, 41% d’entreprises européennes, 9% d’entreprises asiatiques et 9% d’entreprises américaines.
  • 50 pays africains sont couverts par les entreprises CFC.
  • 1er centre financier vert en Afrique et au Moyen-orient, d’après le « Global Green Finance Index » (GGFI) 2020 qui est l’indice global de la finance verte.
  • 15 partenariats avec les plus grands centres financiers internationaux (Londres, Bruxelles, Luxembourg, Paris, Barcelone, Francfort, Astana, Abu Dhabi, Beijing, Shanghai, Busan, Hong Kong, Singapour, Montréal et Toronto).
  • 20 partenariats Sud-Sud (Mali, Sénégal, Niger, Guinée-Conakry, Côte d’Ivoire, Burkina Faso, Ghana, Togo, Bénin, Nigeria, Cameroun, Congo, Gabon, République démocratique du Congo, Rwanda, Tanzanie, Zambie, Afrique du Sud, Île Maurice et Madagascar).
  • Depuis 2016, la contribution fiscale des membres CFC est passée de 340 millions de dirhams (MDH) à 940 MDH.
  • Création de 6.690 emplois permanents par la communauté CFC.

 

 

15Oct

Loi de Finances 2022 : Les recommandations de la CGEM

Loi de Finances 2022 : Les recommandations de la CGEM

Face aux défis liés à la relance économique après la crise sanitaire et aux ambitions d’un nouveau modèle de développement, la Confédération générale des entreprises marocaines (CGEM) a annoncé ses recommandations pour le projet de loi de finances 2022.

Ainsi, pour la nouvelle loi, la CGEM a émis certaines recommandations et notamment :

  • Maintenir la compétitivité des entreprises affectées par la concurrence mondiale en réduisant les charges fiscales et en revoyant les révisions fiscales
  • Importer des intrants et mettre en place une fiscalité verte pour promouvoir une transformation écologique responsable et réduire les coûts sociaux.

En ce sens, plusieurs mesures spécifiques ont été proposées, notamment le début de l’abaissement du taux de l’impôt sur les sociétés pour atteindre un niveau internationalement reconnu, l’abaissement du paiement minimum en vue de l’abolir d’ici à 5 ans et la réforme de la fiscalité. Compte tenu des nombreuses taxes et redevances, de la taxe sur la valeur ajoutée de 10 % sur les équipements solaires et de la mise en place de crédits d’impôt R&D ciblés,

Il s’agit aussi de la garantie de l’équilibre dans les trésoreries des entreprises tout en maintenant leurs capacités de financement et ce, en accélérant la réforme de la TVA, qui représente l’épine dorsale de l’équilibre financier des entreprises, ainsi que le renforcement des mécanismes de confiance entre le contribuable et l’administration pour démocratiser la participation à l’impôt dans la transparence exigée des deux parties, en encadrant le contrôle et les sanctions.

Par ailleurs, la CGEM propose de continuer à soutenir l’investissements du tissu productif et de renforcer les marchés publics en maintenant le budget alloué, en encourageant les préférences de l’État et une part importante des petites et moyennes entreprises.

13Oct

Adjudication d’achat de devises : BAM

Adjudication d’achat de devises : BAM

Afin d’absorber l’excédent actuel du marché des changes et d’assurer son fonctionnement normal, la Banque du Maghreb (BAM) a récemment annoncé qu’elle organiserait des enchères pour acheter des devises étrangères auprès des opérateurs du marché en cas de besoin.
En effet, lors des deux premières adjudications organisées lundi et mardi, la banque centrale a racheté 410 millions et 260 millions de dollars américains à ces opérateurs en échange de dirhams aux prix de 8,9939 et 8,9834 dollars américains, respectivement. Selon le site Internet de la Banque Al-Maghrib. Alors qu’est-ce qui constitue ce mécanisme et quel est son but ?

« Avant la mise en œuvre des réformes du marché des changes de 2018, l’intervention de la Banque du Maghreb (BAM) sur le marché était presque automatique », a expliqué l’économiste et expert en politique de change Omar Bakkou.
M. Bakkou a déclaré à MAP que la banque centrale procéderait à des échanges de devises avec les banques chaque fois que la banque en aurait indiqué un besoin, et a souligné que depuis la mise en œuvre de la réforme, cela comprenait l’élargissement de la gamme des fluctuations monétaires, et BAM s’est assuré de quitter une marge importante pour le marché des échanges interbancaires. « Sous l’influence de l’excès de liquidité enregistré sur ce marché aujourd’hui et de la prédiction continue de BAM de cette situation (le risque de marché des changes est toujours excessif, ce qui signifie que la masse monétaire dépasse la demande), la banque centrale a donc décidé d’adopter cette technologie d’enchères. Intervenir », a-t-il déclaré.

« Ces adjudications seront organisées autant que nécessaire et ce, en fonction de l’évolution des conditions sur le marché de change », précise la Banque Centrale.

Objectifs :

Adjudication d’achat de devises : BAM

Selon les experts, ces interventions ont deux objectifs principaux :

Le premier est d’éviter la crise d’excès de liquidité sur le marché des changes, c’est-à-dire que « les banques vont devoir perdre de l’argent par manque d’acheteurs, de devises étrangères (le taux de change de l’euro est négatif et nul par rapport au dollar américain) « , et a souligné que ces pertes feront perdre de l’argent aux banques. Les revenus générés sur le marché se sont détériorés car lorsque les taux d’intérêt atteignaient une fourchette inférieure, leurs commissions devenaient nulles.

« On pourrait, également, considérer dans ce même sens que lesdites interventions permettent d’éviter une décision d’élargissement de la bande de fluctuation, qui se traduirait par une appréciation encore supplémentaire du dirham par rapport aux devises, laquelle serait dommageable pour les entités génératrices de devises, en l’occurrence les exportateurs. », a fait valoir M. Bakkou.

En outre, les experts ont souligné que cette décision améliorera la liquidité des dirhams des banques, ce qui leur permettra bien sûr d’améliorer leurs conditions financières et leurs capacités d’émission de crédit. rappelant, dans ce sens, que la situation financière des banques a été fortement endommagée par la crise du Covid-19 (les sources de financement libre des banques ont fortement diminué, c’est-à-dire les dépôts à vue après un grand nombre de retraits de la clientèle, une augmentation des dettes en souffrance, etc.).

De même, un responsable de la salle des marchés a déclaré que depuis la réforme du marché des changes, la banque centrale n’est pas intervenue sur ce marché. Il y a principalement deux raisons pour expliquer la décision de BAM. L’une est la poursuite de l’appréciation du dirham. La limite inférieure de la bande de fluctuation est atteinte.

La seconde raison, a-t-il poursuivi, est la position de change des banques (le solde positif ou négatif d’un établissement de crédit dans une devise) qui, selon les derniers chiffres publiés sur le site de BAM, a atteint, au 14 septembre courant, plus de 9,42 milliards de dirhams.

Cette position, qui avait déjà inscrit un plus haut annuel à plus de 10,3 MMDH, est attribuable d’après, la même source, « aux mouvements anormaux des devises en juin, juillet et août ».

« Cela est dû au retour des Marocains vivant à l’étranger, mais aussi parce que de moins en moins de Marocains quittent le pays (pandémie COVID 19 oblige). En conséquence, la consommation de devises étrangères a diminué », a-t-il déclaré.

27Sep

Différence entre les Publications Boostées et les Publicités Facebook

Différence entre les Publications Boostées et les Publicités Facebook

Toutes les entreprises doivent décider de leurs objectifs publicitaires uniques avant de commencer à faire de la publicité sur Facebook, car certains objectifs peuvent être atteints en boostant une publication, et d’autres en créant une publicité Facebook. Le guide suivant aborde les différences et les similitudes entre les publications boostées et les publicités Facebook, et explique à quel moment vous devez utiliser l’un ou l’autre.

Qu’est-ce qu’une publication boostée ?

Une publication boostée est une publication sur le journal de votre Page que vous pouvez distribuer à un public de votre choix moyennant une somme d’argent. c’est le moyen le plus simple de faire de la publicité sur Facebook. Contrairement aux publicités Facebook, les publications boostées ne sont pas créées dans le Gestionnaire de publicités et ne bénéficient donc pas des mêmes paramètres de personnalisation.

Lorsque vous boostez une publication, celle-ci s’affiche dans le fil d’actualité Facebook des membres de votre audience en tant que publicité. Vous pouvez également choisir Instagram en tant que placement publicitaire de votre publication boostée. Vous pouvez choisir une publication déjà présente dans le journal de votre Page et la booster en quelques étapes seulement. Lorsque vous boostez une publication, trois éléments sont importants :

  • Qui vous souhaitez toucher : choisissez une audience cible du type de personnes avec lesquelles vous souhaitez communiquer.
  • Votre budget maximal : dites-nous le montant exact que vous souhaitez dépenser pendant votre campagne.
  • Combien de temps vous souhaitez diffuser votre publicité : une fois que vous avez cliqué sur Booster et que votre publicité est approuvée, les membres de votre audience cible verront votre publicité dans leur fil d’actualité pendant la durée déterminée.

Remarque : les publications boostées restent des publicités, car elles nécessitent un budget pour pouvoir être partagées avec une audience plus large. Il s’agit de la principale similitude entre les publications boostées et les publicités Facebook. Nous identifions votre publication boostée en tant que publicité dans votre facture.

Que sont les publicités Facebook ?

Alors qu’une publication boostée est considérée comme une publicité, les publicités Facebook sont créées via le Gestionnaire de publicités et proposent des solutions de personnalisation plus avancées. Il existe de nombreux objectifs publicitaires qui peuvent vous aider à atteindre vos objectifs commerciaux et à toucher les audiences qui comptent pour vous.

Alors qu’une publication boostée peut générer des mentions J’aime la Page, des commentaires, des partages ou améliorer la notoriété de la marque de façon générale, les publicités Facebook peuvent entraîner des installations d’app, des conversions sur un site web, des vues de vidéos, des commandes et plus encore.

Que puis-je faire d’autre avec les publicités Facebook ?
  • Choisir différents placements publicitaires: lorsque vous boostez une publication, vous pouvez choisir si vous souhaitez ou non publier votre publicité sur Instagram en plus du fil d’actualité Facebook mobile et sur ordinateur. Avec les publicités Facebook, vous pouvez en plus choisir les placements dans la colonne de droite Facebook, dans Messenger, dans les Stories Instagram, dans les Instant Articles et sur Audience Network.
  • Opter pour des objectifs publicitaires précis: en choisissant un objectif publicitaire assez tôt, vous pourrez vous concentrer sur le type de campagne qui correspond le mieux à vos objectifs commerciaux actuels. Les publications boostées vous permettent de vous concentrer sur les clics vers un site web, l’interaction avec la Page et les promotions d’entreprises locales. Toutefois, le système complet du Gestionnaire de publicités vous permet de choisir des objectifs comme le trafic en point de vente, les conversions et la génération de prospects. Vous pouvez également créer et gérer des publicités à l’aide de l’application mobile Gestionnaire de publicités.
  • Contrôler le contenu: avec les publicités Facebook créées dans le Gestionnaire de publicités, vous pouvez concevoir une publicité qui correspond à vos objectifs. Créez des publicités carrousel, ajoutez des descriptions précises et ajoutez un bouton call-to-action qui incitera davantage de monde à agir. Ce n’est qu’un aperçu des options de contenu et de mise en forme du Gestionnaire de publicités que vous manquez lorsque vous vous contentez de booster une publication à partir de votre Page.
  • Utiliser des fonctions de ciblage avancées: en boostant des publications, vous choisissez les centres d’intérêt, l’âge et le sexe pour votre ciblage publicitaire. Vous pouvez ainsi toucher les personnes les plus susceptibles d’être intéressées par votre activité. Avec les publicités Facebook, vous pouvez utiliser des outils plus avancés pour créer des types d’audience qui se rejoignent, des audiences similaires et plus encore.

Différence entre les Publications Boostées et les Publicités Facebook

Publicités Facebook ou publications boostées : quand les utiliser ?

Pour réussir, une entreprise doit identifier exactement ses objectifs publicitaires. Par exemple, si vous souhaitez que l’audience interagisse avec votre Page ou si vous préférez développer la notoriété de votre marque, vous pouvez booster une publication pour optimiser votre visibilité et élargir votre audience. Utilisez le Gestionnaire de publicités pour créer des types de publicités et des campagnes plus avancés.

 

22Sep

Comment surmonter la « Crise du Contenu » ?

Comment surmonter la « crise du contenu » ?

Saturation des canaux digitaux, démultiplication des réseaux sociaux, croissance de la compétition… Le volume de contenus digitaux a explosé au cours des dernières années, engendrant une situation de  » crise  » pour les marques tentant de se différencier dans un contexte tendu. Comment peuvent-elles aider leurs équipes marketing et créatives à surmonter ces défis sur le long terme, et quel rôle l’intégration des nouvelles technologies peut-elle jouer ? Comment surmonter la « crise du contenu » ?

La démultiplication des canaux digitaux et la croissance exponentielle de l’usage des réseaux sociaux au cours des dernières années a fait exploser le volume de contenus circulant en ligne.  Face à cela, les marques ont redoublé d’efforts et créé davantage de contenu pour tenter de se différencier au sein d’un environnement déjà saturé, engendrant une véritable situation de « crise ». Une dynamique de création soutenue est essentielle à l’efficacité de toute stratégie marketing, mais produire et partager un contenu créatif et personnalisé au bon format et au bon moment sur de multiples canaux en constante évolution est devenu un véritable casse-tête.

Comment les équipes marketing et créatives peuvent-elles surmonter cette « crise du contenu » ? Les marques doivent impérativement prendre en compte les enjeux de cette dernière, et repenser leurs processus pour aider leurs équipes à gérer leur production de contenu et à renouer avec la créativité.

Les enjeux de la « crise du contenu »

Les responsables marketing font face à plusieurs défis. D’un côté, la concurrence en ligne s’est fortement développée, engendrant une masse croissante de contenu promotionnel. De l’autre, les équipes marketing et créatives doivent créer un contenu pertinent et percutant pour atteindre des consommateurs déjà sur-sollicités. En plus de cela, les marques constatent souvent une diminution de la performance de leur contenu en raison de son manque d’adéquation avec les spécificités techniques des différents canaux de communication digitale, notamment celles des réseaux sociaux. Suivre l’évolution de ces derniers, de leurs fonctionnalités et de leurs formats tout en gardant un œil sur l’apparition de nouvelles plateformes est un véritable défi. Chaque nouveau canal ou média dispose de contraintes de taille différentes, et le contenu doit en outre être localisé et adapté au public ciblé, nécessitant une approche sur-mesure particulièrement flexible.

Les équipes marketing et créatives passent donc énormément de temps à créer et gérer un contenu répondant aux besoins uniques de chaque plateforme et de chaque audience, tout en devant accroître leur production pour pallier la démultiplication de ces mêmes plateformes. Elles peinent de ce fait à trouver un équilibre entre quantité et qualité dans la création de ce contenu, le plus souvent au détriment de cette dernière. La créativité est altérée à la fois par l’accélération du rythme auquel ces contenus doivent être créés, et par les modifications qui doivent y être apportées avant chaque partage pour répondre aux exigences de chaque plateforme. Si elles peuvent s’avérer efficaces pour atteindre les clients potentiels, ces tâches répétitives d’adaptation et de « remarketing » du contenu sont en réalité hautement chronophages et contre-productives. Intégrer les nouvelles technologies aux processus de création est donc désormais une nécessité pour soulager la pression imposée aux équipes créatives et leur permettre de se recentrer sur le cœur de leur activité.

Intégrer la technologie pour renouer avec la créativité

Les innovations technologiques qui se développent dans le domaine du marketing et de la gestion de contenus numériques font partie des solutions à la « crise du contenu ». Une récente étude a en effet révélé une attirance croissante des responsables marketing et des équipes créatives pour l’intégration d’outils technologiques aux processus créatifs face à la hausse des besoins en contenus digitaux, le potentiel de l’intelligence artificielle et de l’automatisation étant particulièrement mis en avant. Ces dernières permettent de faciliter la coopération entre les équipes, de prendre en charge les tâches administratives et de créer un contenu conforme à la fois à l’image de la marque et aux exigences des canaux digitaux où il est partagé, donnant aux marketeurs et aux créatifs le temps nécessaire pour se concentrer sur leurs stratégies. De nombreux outils technologiques permettent également de réagencer la répartition des tâches et de réduire les charges de travail en automatisant les tâches techniques répétitives. Investir dans les technologies adéquates pour assister les équipes marketing et créatives est donc désormais un véritable gage d’efficacité.

L’évolution constante du marketing – et particulièrement du marketing digital – requiert une capacité d’adaptation éclair de la part des marques. Dans un environnement de plus en plus saturé et compétitif, les innovations technologiques sont plus que jamais nécessaires, et l’on peut envisager qu’elles deviendront partie prenante des stratégies marketing sur le long terme. L’adoption de nouveaux outils technologiques doit ainsi être vue par les équipes marketing et créatives comme un moyen de faire face aux défis actuels plutôt que comme une solution de remplacement, leur offrant plus de temps, plus de moyens et les aidant à replacer la créativité au centre de la création de contenu.

Il est peu probable que les défis liés à la « crise du contenu » disparaissent dans les mois, voire les années à venir. Les marques doivent donc prendre en compte la pression qu’elle engendre pour les équipes marketing et créatives et l’impact négatif qu’elle peut avoir sur la productivité, et intégrer des solutions pour assurer l’efficacité des campagnes tout en donnant la possibilité aux équipes de se concentrer sur leur cœur de métier. Surmonter cette crise n’est pas impossible, et le futur du marketing sera défini par l’adaptation des marques à ses enjeux.

16Sep

3 Erreurs Marketing à éviter pour attirer des Clients Potentiels

3 Erreurs Marketing à éviter pour attirer des Clients Potentiels

Nous vivons à une époque où les entreprises vont directement au pitch sans passer par la case approche et séduction…

Un marketing qui incite une audience à « acheter maintenant », c’est un peu comme demander quelqu’un en mariage lors de votre premier rendez-vous. À n’importe quel moment, seul 3% du marché recherche ce que vous vendez. Ainsi, les chances que vous soyez « l’élu » du cœur de votre prospect sont assez minces. Alors, pourquoi semblons-nous vivre à une époque où les entreprises vont directement au pitch sans passer par la case approche et séduction ?

Donc voilà Les  3 Erreurs Marketing à éviter pour attirer des Clients Potentiels

Erreur n ° 1 :  Une mauvaise première impression

Environ 60% de vos clients potentiels ne vous connaissent pas. Et vous non plus par la même occasion. Et cet « inconnu » ne fait que naviguer sur votre site web. Pire encore, il n’est peut-être même pas conscient d’avoir un problème que vous pourriez résoudre. Il peut donc trouver votre entreprise par le biais de vos efforts marketing, de campagnes publicitaires en ligne, des réseaux sociaux et de recherches Google, et commencer à placer votre marque sur la carte.

Mais en réalité, il en sait encore peu sur vous. Il est donc peu probable que vous décrochiez un rendez-vous à ce stade, à moins que vous ne trouviez quelque chose qui l’intéresse. Et si vous vous présentez en clamant, nous sommes les meilleurs ou « marions-nous ! » Vous risquez de les refroidir d’emblée.

La solution : transformer des inconnus en amis

Le moyen le plus efficace de débuter une relation avec vos visiteurs consiste à proposer un échange. Découvrez ce qui peut intéresser votre client potentiel, et en retour, proposez-lui quelque chose qui pourrait vous convenir. Ce « quelque chose » n’a pas besoin d’être l’un de vos produits et en réalité, c’est mieux si ce n’est pas le cas, pour vous éviter de vous lancer dans un argumentaire de vente trop précoce. Essayez de lui offrir quelque chose de petit et facile à digérer comme un quiz, un guide gratuit ou un concours.

Faites correspondre la température de l’intérêt du prospect à vos actions. S’ils sont froids au début, allez-y progressivement et essayez de les mettre à l’aise. À ce stade, vous devrez peut-être faire appel à des amis qui pourraient se porter garant pour vous, comme la couverture médiatique que vous auriez obtenue à travers une campagne de relations publiques, ou des témoignages de clients satisfaits. Vous apprenez à les connaître, ils apprennent à vous connaître et vous vous donnez une chance de vous revoir.

Erreur n ° 2 : Ignorer leur curiosité

Les « curieux » sont les 20 % de prospects qui ont reconnu avoir un problème à résoudre et qui ont réalisé que vous pourriez éventuellement les aider. Ces prospects connaissent votre marque et sont prêts à cliquer sur les liens qui les intéressent. Votre marketing doit donc absolument vous assurer de rester au premier plan.

En revanche, si vous ne connaissez pas la source de leur curiosité, il est facile de les perdre. Avant de commencer à songer à la création d’un entonnoir de vente, à développer des offres ou à configurer Google Ads, Facebook Ads, à vous lancer dans votre référencement ou tout autre système d’acquisition de trafic, il y a une chose que vous devez faire. Car rien ne compte tant que vous ne l’avez pas fait : connaître intimement votre client. Et ça va bien au-delà des données rudimentaires telles que leur sexe, leur âge et leur localisation.

La solution : découvrez ce qu’ils veulent savoir.

Mieux vous comprendrez leur problème, mieux vous pourrez trouver les déclencheurs marketing de votre produit ou de votre service. Quelles sont les questions les plus épineuses auxquelles ils aimeraient obtenir une réponse de votre part ? Rassemblez les questions populaires des forums et découvrez les demandes les plus fréquentes sur Google. Et pour cela, il y a un outil qui pourra vous y aider : AnswerThePublic.com. Cet outil vous donne un aperçu inestimable de ce que pensent vos clients, du type de questions qu’ils posent et des problèmes sensibles auxquels ils sont confrontés.

Quelles sont les questions les plus fréquemment posées par vos clients à vos collaborateurs ? Encouragez vos clients à partager avec vous ce qu’ils veulent savoir. Et une fois que vous connaissez leurs questions et leurs problèmes, vous pouvez fournir la solution. Développez du contenu tel que des FAQ, des webinaires, des articles de blog, des vidéos et des ebooks qui répondent à leurs questions pour montrer à quel point vous vous souciez de leurs besoins.

Erreur n ° 3 : Vous cherchez à vendre trop tôt

Vient ensuite le « butineur », qui représente 17 % du marché. Il a gravi les étapes de la pyramide et recherche maintenant activement quelqu’un qui puisse l’aider à résoudre ses problèmes. Cependant, si vous lui envoyez votre meilleur argumentaire de vente trop tôt, il risque d’avoir l’impression que vous n’êtes là que pour son argent. Il est temps que votre relation mûrisse.

La Solution : Développez la relation 

Il est essentiel de continuer à entretenir la relation en créant de la valeur. Ils ont atteint un certain niveau d’engagement en manifestant leur intérêt et en levant la main pour signifier qu’ils étaient intéressés par ce que vous proposez. Alors maintenant, vous devez faire le prochain pas, et le suivant et encore le suivant, pour les séduire. Par exemple, vous pourriez envoyer des e-mails contenant du contenu intéressant ou des conseils utiles, des webinaires, des vidéos tout ce qui vous permet d’offrir de la valeur supplémentaire.

Le must est de proposer une offre irrésistible, comme une garantie qui sous-entend une relation qui se poursuivra dans le futur. Vous pouvez également essayer un modèle freemium, par exemple en leur offrant un essai gratuit de 30 jours de votre produit. Vous pouvez également offrir une consultation gratuite ou les inviter à un événement qui démontrera les valeurs de votre marque. À ce stade, la relation devient encore plus concrète, et vous commencez à faire les plans de table de votre mariage à venir.

Convertir les acheteurs

3 Erreurs Marketing à éviter pour attirer des Clients Potentiels : 

Une fois qu’un prospect est arrivé au stade de l’achat (3 %), vous devez le convertir en client. Il

  • connaît votre marque et comprend ce que vous offrez.
  • vous fait confiance quant à votre capacité à délivrer le produit ou le service que vous promettez et
  • est prêt à s’investir pleinement dans sa relation avec votre entreprise.

Il est temps de lui faire une proposition. Cette proposition est à la fois une offre et une invitation. Par exemple, si vous êtes une entreprise de services, vous pouvez offrir de la valeur supplémentaire pour les inciter à signer sur la ligne pointillée.

Assurez-vous que votre marketing corresponde à leur niveau de maturité dans le parcours d’achat. Par exemple, lorsque votre prospect atteint le sommet de la pyramide, votre page de destination doit le diriger directement vers vos produits ou vers un formulaire et une prise de rendez-vous si vous offrez des services. Et toutes vos communications, de vos e-mails aux publicités Facebook, doivent les pousser à l’action.

L’art du marketing va au-delà de la promotion simpliste des produits ou des services pour déclencher une vente. Il a évolué pour englober la relation entre la marque et le client qui commence bien avant la vente. Identifier clairement le stade dans lequel se trouve un client potentiel dans son cycle d’achat peut faire la différence entre la réussite et l’échec commercial.

 

13Sep

Ce qu’il faut attendre de l’Intelligence Artificielle

Ce qu’il faut attendre de l’intelligence artificielle : l’humain sera-t-il bientôt obsolète pour certains métiers ?

Dans le domaine de l’intelligence artificielle, règne la confusion entre les fantasmes de science-fiction, la réalité scientifique, les annonces grandiloquentes et les informations déformées. Portée par les géants du numérique et par des centaines de start-up, cette révolution est en train de transformer l’économie toute entière et promet de régler des problèmes concrets.

11 milliards de dollars. C’est ce que devrait peser le marché l’intelligence artificielle en 2024 selon BPI France. Les investissements dans la recherche sur le sujet sont énormes, surtout en Chine (plus 5 milliards de dollars y ont été consacrés en 2016), aux Etats-Unis (4 milliards de dollars) et en Corée du Sud (860 millions de dollars). Plus de 950 start-up dans le monde ouvrent dans ce domaine, dont près de 500 aux Etats-Unis.

Ce qu’il faut attendre de l’Intelligence Artificielle : Des usages à créer 

Ce qu’il faut attendre de l’Intelligence Artificielle :

Poussée par des géants comme IBM, Google et Microsoft, et par cette impressionnante armada de start-up, l’intelligence artificielle est un domaine d’une grande richesse, où la majorité des usages reste cependant à créer. Ce vaste domaine comprend plusieurs catégories d’IA :

  • Le machine learning et le deep learning

Autrement dit, des algorithmes qui agissent en fonction de ce qu’on leur apprend et des données qu’ils ingurgitent. Pour éviter de se perdre dans les dédales des bases de données, il existe de nouvelles plateformes comme Hadoop et Spark qui permettent d’automatiser le traitement des données et d’aider à la prise de décision. Avec la machine learning, ces plateformes iront encore plus loin : elles apprendront à partir des données et seront capables d’accélérer l’analyse et la prise de décision. Elles pourront s’adapter au comportement du marché, anticiper les tendances, intensifier les flux d’affaires et améliorer en permanence les performances de la donnée. En attendant, le machine learning se limite à la génération de modèles prédictifs et de plateformes capables d’analyser les données comportementales. Certains organismes financiers, par exemple, l’utilisent pour détecter les fraudes ; des commerçants et des détaillants pour identifier les meilleures pistes commerciales, etc. Le champ des applications est vaste.

  • L’analyse de données non structurées

Jusqu’à présent, la quasi-totalité des données analysées étaient des données structurées, capturées et stockées dans une base de données. Or aujourd’hui, ces données structurées ne représentent plus que 20 % de l’information, les 80 % restant étant constitués de données non structurées. L’analyse des données non structurées va donc logiquement prendre de plus en plus d’importance au cours des années à venir. Par sa capacité d’automatiser les traitements, l’AI va aider à libérer le potentiel de ces données.

  • Le traitement naturel du langage et la reconnaissance vocale

Certains algorithmes sont aujourd’hui capables d’analyser le langage humain et de le convertir en texte numérique compréhensible et éditable. D’autres peuvent comprendre la voix humaine et interpréter les actions demandées. Ce qui permet d’envisager désormais sérieusement la dictée vocale comme une alternative à la saisie de texte au clavier, mais aussi de piloter différents dispositifs à la voix : son ordinateur par exemple, mais aussi son smartphone, sa smart TV ou son enceinte connectée. Les interfaces conversationnelles arrivent.

  • La reconnaissance d’image

Elle permet aux éditeurs de solutions de DAM (digital asset management) notamment de mieux identifier les images stockées sur leur plateforme, de repérer les éléments qui les composent (objets, décors, personnes, visages, thématique principal, orientation, émotion sur les visages, etc.), la couleur dominante et ainsi permettre aux utilisateurs de trouver plus facilement ce qu’ils recherchent.

  • Les assistants virtuels

L’un des exemples les plus parlant est évidemment Siri, développé par Apple, qui utilise à la fois la reconnaissance vocale et textuelle pour rendre facile et ludique la gestion de votre agenda, de vos messageries et de vos informations. Siri peut par exemple détecter une date et un horaire inclus dans un message pour déclencher dans l’agenda la planification d’une réunion. Ce qui était autrefois de la science-fiction est aujourd’hui devenu une réalité.

  • Les chatbots

Il s’agit d’une autre classe d’assistants virtuels. Ceux-ci permettent d’automatiser l’accueil des clients en ligne et les processus d’assistance, pour peu que les questions posées soient simples. Les chatbots n’apprennent et ne savent utiliser que ce que vous leur enseignez. Ils devraient cependant révolutionner l’interaction entre l’humain et la machine.

  • Les smart robots

Les robots sont aujourd’hui capables de détecter ce qui les entoure, de comprendre leur environnement et d’enclencher des actions adaptées. Les plus avancés sont même capables de réagir aux émotions humaines et, par exemple, de repérer un utilisateur perdu dans un aéroport ou un magasin et de lui indiquer le bon chemin. Là encore, le champ des applications est vaste et l’avenir s’annonce radieux pour les robots, qu’ils soient “compagnons”, “travailleurs”, “éducatifs” ou autres.

  • L’automatisation des processus manuels

L’automatisation du travail a toujours été associée à la technologie. Aujourd’hui, les robots enregistrent les réservations et les commandes, ils travaillent aux côtés des hommes quand ils ne se substituent pas à eux. Ainsi, après le travail physique remplacé par les machines automatisées de l’ère industrielle, l’intelligence artificielle est sur le point d’automatiser les processus cognitifs des routines. Cette évolution est d’autant plus intéressante que les robots ont une capacité de travail illimitée, sans pause-café, sans week-end, ni congés.

08Sep

Brand Building

Qu’est-ce que le Brand Building ?

Brand building peut être considéré comme un processus complexe dont l’objectif principal est de générer une prise de conscience parmi les clients potentiels en promouvant des activités par différentes activités de marketing telles que des campagnes publicitaires, etc. L’objectif principal du brand building est la perception qu’a le client de la marque elle-même. En d’autres termes : brand building est la communication et la création de valeur pour le client. C’est un ensemble de stratégies ayant le même objectif : rapprocher les clients de la marque.

Le brand building en français : campagne de publicité ayant pour objectif la notoriété et la consolidation de la plate-forme de marque.

Qu’est-ce que une Marque et comment peut-elle être classée ?

La marque est un ensemble d’attributs tangibles et intangibles conçus pour créer une conscience et une identité, et pour construire la réputation d’un produit, d’un service ou d’une organisation dans son ensemble. L’objectif du brand building est de créer des marques qui se différencient de la concurrence. Afin de choisir la bonne stratégie de brand building, il est important de classer la marque en fonction de son objectif principal, des Marques:

  •  Perturbatrices : marques qui apportent quelque chose d’innovant sur le marché
  •  Individuelles : marques connues sous le nom de produits tangibles et individuels
  •  De services : marques qui fournissent et fournissent des services intangibles
  •  Géographiques : marques offrant des produits et services spécifiques dans une région.
  •  Personnelles (personal branding) : personne comme des célébrités ou un politicien
Pourquoi avez-vous besoin d’un Brand Book ?

La condition préalable à la stratégie de brand building est la création d’un Brand Book. C’est un aperçu de la mission de la marque, de son image et surtout de ses valeurs fondamentales. L’ADN d’une marque peut être plus général (mission et vision de la marque, but, etc.…) mais aussi plus spécifique contenant des lignes directrices visuelles telles que les polices et les couleurs. Certains de ses principaux éléments sont :

  • Bref historique de la marque
  • Mission et vision de la marque
  • Valeurs fondamentales
  • Style de communication de la marque
  • Marquage visuel
  • Logo et ses variantes
  • Schéma de couleurs
  • Polices
  • Images de marque moodboard

Brand building c’est communiquer les valeurs d’une marque. Ces valeurs portent toujours 4 composantes principales Valeurs  :

  • De réputation : comment une marque est perçue par les autres sur la base d’informations publiques.
  • Relationnelle : bâtir la confiance entre le client et la marque
  • Expérientielle : comment une marque est vécue par les autres dans le passé
  • Symbolique : principaux symboles visuels d’une marque
Processus de construction de Marque : 

Il n’y a pas de moyen défini de construire une marque. La construction d’une marque nécessite innovation, créativité, proposition de valeur correcte, surveillance constante et garantie d’une bonne expérience client.

Les étapes impliquées dans la construction de la marque sont :

  • Décrivez votre marque: La première étape de la construction d’une marque consiste à décrire la marque. Cela peut être fait à travers la description du produit, l’emballage, les logos, etc. La façon dont une marque est définie construit le capital marque et constitue la base de la perception du client.
  • Différenciation et positionnement de la marque :une fois qu’un produit ou un service est créé, il est essentiel que la marque se différencie de ses concurrents par une valeur unique. De plus, le positionnement correct de la marque est un élément essentiel de la construction de la marque.
  • Promotion de la marque :La publicité et la promotion de la marque à l’aide des chaînes de télévision, des médias sociaux, des publicités imprimées, de la publicité en ligne, etc. Une communication correcte et des canaux médiatiques efficaces peuvent aider à construire une marque forte et à augmenter la mémorisation de la marque.
  • Personnaliser la marque : lerenforcement de la marque peut être efficace si le client s’y sent connecté. Par conséquent, donner une touche personnelle au client, grâce à l’innovation et à la personnalisation, peut aider à créer une perception plus forte dans l’esprit du client.
  • Évaluer la marque :il est important qu’une entreprise continue de surveiller et d’examiner les performances de ses produits, services et marques. Par conséquent, l’évaluation et l’examen d’une marque sont un élément essentiel de la construction d’une marque.

Le brand building, mais aussi l’E-réputation, doivent être considérés comme des sujets sérieux pour chaque entreprise. Si elle est faite correctement, elle peut avoir un impact significatif sur tous les domaines de l’activité de l’entreprise, mais aussi, si elle est négligée, elle peut nuire à l’entreprise. N’oubliez pas de laisser les professionnels s’en charger.

06Sep

Comment trouver la Communauté à qui s’adresser sur les Réseaux Sociaux ?

Comment trouver la Communauté à qui s’adresser sur les Réseaux Sociaux ?

Aujourd’hui, dans le monde de la publicité, il est de bon ton de se lancer dans une stratégie de webmarketing pour de multiples raisons : améliorer la notoriété de son entreprise, faire de l’acquisition, susciter des interactions et surtout dans le but de réaliser des conversions. Oui, il faut le reconnaître : le webmarketing s’impose comme un levier indispensable dans une stratégie d’entreprise. Pourtant, tous vos efforts seront vains si vous ne savez pas à qui vous adresser.

Nous sommes convaincus qu’avant de se lancer, une marque doit absolument réaliser une première étape qui consiste à définir sa communauté. Vous devez être en mesure d’identifier ce groupe social composé de personnes qui interagissent entre elles, partagent et utilisent des informations en relation avec leurs centres d’intérêt. Une communauté se rassemble autour de codes précis : son langage, son comportement ou encore son engagement vis-à-vis d’une cause. Vous l’aurez compris : trouver sa communauté est l’étape indispensable avant de mettre en œuvre une stratégie de webmarketing.

Comment trouver la Communauté à qui s’adresser sur les Réseaux Sociaux ? Comment identifier sa communauté de marque ?

Pour un annonceur, toute la difficulté réside dans sa capacité à définir la communauté à qui il devra s’adresser. Il n’y a pas de recette miracle, c’est à vous en tant qu’annonceur d’effectuer ce travail d’identification. Pour savoir à quelle communauté s’adresser, l’annonceur doit être en veille permanente et relever tout ce qui se dit sur sa marque et sur son secteur d’activité de manière générale. Des premières tendances et mots-clés vont commencer à ressortir et vous permettre de déterminer de premières pistes à explorer.

Ensuite, vous devrez engager la conversation avec vos clients pour comprendre leurs attentes, ce paramètre vous permettra d’affiner votre choix. Une fois que vous aurez rassemblé tous ces éléments, vous devrez émettre plusieurs hypothèses quant aux communautés identifiées et les nommer. Ne vous fermez pas de portes tout de suite, laissez-vous le choix. Il est nécessaire d’approfondir vos connaissances dans les comportements de plusieurs communautés pour que vous puissiez identifier celle qui correspondra le mieux à vos valeurs et à votre démarche.

Ça y est, vos différentes hypothèses sont là, devant vous sur un bout de papier, mais vous ne savez toujours pas laquelle choisir. C’est le moment d’approfondir vos connaissances dans les comportements des communautés sélectionnées. Pour cela, nous vous conseillons de réaliser une carte d’empathie. Cet exercice consiste à sélectionner un échantillon de personnes appartenant aux communautés choisies et de leur demander de répondre à plusieurs questions qui vous permettront d’affiner vos connaissances sur leurs comportements. Vous pourrez aussi vous mettre dans la peau d’un membre type de chacune des communautés choisies et répondre à votre tour à ces questions :

  • Que ressent-il ? Qu’est-ce qui est réellement important pour lui ? Quelles sont ses préoccupations majeures ?
  • Qu’entend-il ? Que disent son entourage, ses amis, son chef, ou les personnes qui comptent pour lui ? Quelles personnes sont réellement influentes pour lui ?
  • Que voit-il ? Qu’est-ce que le marché propose ? À quoi ressemble son environnement ? Où vit-il ? Quel est son quotidien ?
  • Que fait-il ? Quel est son comportement au sein d’un groupe ? Son attitude en public ? Quelle importance accorde-t-il à son apparence ? Quelles sont ses habitudes ?
  • Quelles sont ses craintes ? A-t-il des peurs ou des frustrations ? Des limites à ne pas dépasser ?
  • Quels sont ses désirs ? Quels sont ses critères de réussite ? Ses besoins ? À partir de quel moment est-il satisfait ?

Une fois que vous avez récolté suffisamment de réponses (nous conseillons l’étude d’au moins une quinzaine de personnes pour chaque communauté choisie), vous serez en mesure d’établir le profil type de vos utilisateurs en créant un ou plusieurs personnes. Cette étape est importante, car elle doit vous permettre d’affiner votre choix. Pour chaque communauté étudiée, vous créez un personnage imaginaire doté d’un prénom, d’un âge, d’une catégorie socio-professionnelle, vous précisez aussi ses habitudes de consommation ainsi que l’ensemble des informations récoltées grâce à notre carte d’empathie. Cet exercice doit vous permettre d’avoir un résumé de chacune des communautés étudiées plus tôt.

Créez de l’engagement pour convertir 

Par définition, une communauté sera particulièrement sensible aux sujets qui concernent son centre d’intérêt premier. En mettant en œuvre une démarche communautaire, vous devrez chercher à créer de la conversation avec votre communauté dans le but d’instaurer une relation durable. Pour cela, pensez à respecter 3 critères indispensables :

  • Un centre d’intérêt commun : comme dans la vraie vie, c’est le point de départ de toute bonne conversation. Entre une marque et sa communauté, c’est exactement la même chose. Vous devez avoir un socle commun pour entamer une bonne relation et donc générer une conversation.
  • L’écoute réciproque : votre communauté vous lit, certes, mais vous aussi en tant que marque vous devez être attentifs aux réactions, remarques ou commentaires de vos abonnés et les prendre en compte. Si vous recevez une suggestion de la part d’un abonné, c’est l’occasion la mettre en œuvre.
  • La confiance : montrez à votre communauté qu’elle peut compter sur vous. Cela passe par de simples gestes comme la réponse aux messages privés, des preuves de transparence sur vos process de fabrication. N’hésitez pas à montrer ce qu’il se passe dans les coulisses de votre entreprise.

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